Michel Roche, nouveau directeur des écoles Saint-Exupery

Michel Roche vient de prendre ses fonctions à la tête de l’école Saint-Exupery maternelle (3 classes, 66 élèves) et élémentaire (5 classes, 103 écoliers). Une 33e rentrée dont 25 en tant que directeur d’école pour celui qui a passé pas mal de temps à l’étranger.


Dernièrement directeur sur Arras, cette première année à Méricourt est un peu un retour aux sources pour Michel Roche qui a commencé dans le Bassin minier, à Carvin en tant qu’enseignant. « Je trouve que c’est une région où les gens sont très demandeurs et on a l’impression de servir à quelque chose, d’amener un petit plus aux enfants mais aussi aux parents » souligne celui qui a travaillé avant cela sur tous les continents. « Tout d’abord en Haïti, durant une dizaine d’années. Ensuite, j’ai poursuivi mes études en France pour une maîtrise de français/langues étrangères et une licence de sciences de l’éducation ».

Après Michel Roche est parti enseigner sur Madagascar durant 6 ans, puis au Brésil pendant 5 ans. Après un retour de trois années en France, il effectuera deux années au Bangladesh. « C’était un choix de vie personnel et à la fois familial d’aller enseigner à l’étranger. Aujourd’hui, c’est un peu un retour aux sources de travailler dans cette région ».

Pour cette année, le directeur évoque un gros chantier afin d’établir un bilan du projet de l’école Saint-Exupery et qui court jusqu’en juin 2018. « Cela va permettre à l’ensemble de l’équipe éducative et des partenaires que sont la mairie et les différentes instances qui tournent autour de l’école de remettre en place un nouveau projet qui tiendra compte des demandes institutionnelles, aussi bien de la part du Ministère que de la circonscription d’Avion » affirme Michel Roche avec l’objectif de répondre aux besoins et aux attentes des enfants et des parents.
Avec une école qui s’ouvre sur le monde extérieur, cela doit permettre aux élèves de développer certaines compétences dans le domaine de l’art avec en projet la création d’un roman soutenue par un écrivain en résidence à l’Espace culturel La Gare.
– Publié le 07/09/2017