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Etude urbaine cité de la Croisette et Parc du Maroc

 
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Paru le 07/03/2019

Dans le cadre du contrat ERBM (Engagement pour le Renouveau du Bassin Minier), une étude urbaine sur les quartiers retenus des cités de la Croisette et du Parc du Maroc a débuté. Vendredi matin, élus municipaux, bailleurs sociaux et les services de la CALL (Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin) se sont retrouvés sur le terrain.

texte-315.jpgSuite au rapport Subileau, un contrat (appelé aujourd’hui ERBM) a été signé le 7 mars 2017 à Oignies et donne la priorité à la réhabilitation et à la restructuration de l’habitat dans les cités minières.

L’objectif est d’améliorer les conditions de vie des habitants et de réduire leur facture énergétique.

Cette engagement représente une opportunité exceptionnelle sur notre territoire pour accélérer le volume et la qualité des réhabilitations par les bailleurs et de façon concertée avec les collectivités territoriales et l’État.

Réhabiliter 23 000 logements sur 10 ans



Pour la période 2018-2020, cela représente une réhabilitation d’environ 6 900 logements à l’échelle du Bassin Minier, dont 3 600 avec un soutien financier de l’Etat et des signataires de l’ERBM (Région, Département, Communautés d’agglomérations).

A l’échelle de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin, dix cités ont été inscrites à l’ERBM. La cité de la Croisette et celle du Parc (quartier du Maroc) de Méricourt ont été retenues.

Diagnostic en marchant des quartiers



Le vendredi 1er mars, le maire Bernard Baude étaient satisfait d’accueillir le même jour sur le terrain les directeurs de SIA Habitat, Philippe Castelain, de Maisons et Cités, Dominique Soyer et leurs collaborateurs ainsi que Fanny Bullaert directrice de l’Habitat et de la Politique de la Ville et Philippe Delahaye DGST pour la CALL.

L’ERBM imposant d’initier des études urbaines sur les quartiers retenus, la ville a proposé aux partenaires concernés de réaliser un diagnostic en marchant pour identifier ensemble les difficultés et les potentialités des cités méricourtoises retenues.

Les habitants associés au projet



Un temps d’échange proposé ensuite au sein de la cyberbase a permis au groupe de définir les grandes lignes de travail pour le bureau d’études amené à travailler sur le projet, avec pour exigence d’y associer les habitants, une pratique de démocratie participative à laquelle Bernard Baude et son équipe sont très attachés.

Les deux points mis en avant au cours de la matinée se sont portés sur la nécessité d’améliorer le confort des logements des habitants mais aussi de travailler sur le cadre de vie et la mobilité. Un enjeu essentiel sur le territoire.
Publié le 07/03/2019

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